Faut-il encore craquer pour la Nike Air Force 1 ?

Depuis qu’elle est apparue pour la toute première fois sur les terrains de basketball de la NBA, en 1982, la Air Force 1 n’a jamais disparu du catalogue de Nike ni de la rue. Enfin presque. Après une absence courte mais remarquée de deux ans, entre 1984 et 1986, la silhouette est revenue en force et a continué à s’émanciper, non plus dans l’univers sportif, mais dans la mode. Aux pieds des hommes autant que des femmes à qui la marque à la virgule a tendance à proposer de plus en plus de versions dédiées, la chaussure nommée ainsi en référence à l’avion présidentiel américain est et restera vraisemblablement incontournable pendant longtemps. Faut-il pour autant encore la privilégier à d’autres modèles, de Nike et de ses concurrents ?

Voilà la question aussi intéressante que complexe à laquelle nous avons souhaité répondre aujourd’hui sur blogmode.net.

A lire en complément : Les vestes américaines : une tendance vestimentaire en plein essor

Air Force 1, une silhouette plus inspirante que jamais.

La mythique Air Force 1 de Nike a beau avoir 40 ans, elle est comme nous venons de le voir toujours très prisée. Autant dire que l’équipementier a eu raison de faire confiance au designer Bruce Kilgore pour sa création, en 1982, et plus encore aux 3 revendeurs de Baltimore sans lesquels elle aurait été remplacée prématurément deux ans plus tard.

Elle est également inspirante, en ce sens qu’elle est régulièrement revisitée par les équipes créatives de Nike, certes, mais aussi par de nombreux collaborateurs de l’équipementier parmi lesquels figurent des labels prestigieux et des artistes renommés. Dernièrement, la chaussure de basketball est passée notamment entre les mains expertes de Virgil Abloh, le fondateur regretté d’Off-White, qui l’a fait entrer dans une dimension résolument luxueuse, dans le cadre d’un partenariat exceptionnel avec Louis Vuitton. Malgré des prix de vente initiaux dépassant le millier d’euros, chacune des paires ainsi conçues a rencontré un succès phénoménal, prouvant que la Air Force 1 est définitivement capable de boxer dans toutes les catégories et de surcroît intemporelle.

A lire également : Portefeuille femme : Quelle taille choisir ?

On ne peut pas en dire autant de ses alternatives, aussi attractives soient-elles.

Les meilleures alternatives à la Nike Air Force 1.

Au fil du temps, les concurrents de Nike ont cherché à leur tour à surfer sur l’engouement des amateurs de sneakers, les « sneakerheads », pour les modèles rétro issus du monde du basketball. Fort logiquement d’ailleurs. C’est le cas d’adidas, avec sa Forum, et surtout de New Balance avec sa 550 (qui s’appelait initialement P-550). Ces deux silhouettes respectivement créées en 1984 et en 1989 sont assurément les meilleures alternatives à la Air Force 1. En atteste l’engouement qu’elles suscitent auprès d’un public tant masculin que féminin. Un engouement grandissant qui prouve bien que les fans de baskets n’hésitent plus à délaisser la AF-1 au profit de références tout aussi qualitatives et généralement plus accessibles. Un deuxième atout à ne pas négliger quand on sait que les prix à la revente pour les Air Force 1 limitées, c’est-à-dire les plus demandées, peuvent atteindre des sommets.

Où acheter la Air Force 1 et à quel prix ? Suivez le guide.

Partant de ce constat, vous avez toutes les raisons d’entretenir votre amour pour la Air Force 1, et ce sans négliger ses alternatives ni ses prix. Sachez que le prix moyen conseillé d’une paire de AF-1 est de 120€. A ce tarif, vous pourrez vous offrir quelques déclinaisons populaires telles que la Air Force 1 Low ‘’Triple White’’ et pourquoi pas des éditions limitées si vous faites preuve de réactivité lors de leur sortie sur l’application SNKRS. Gardez également un œil sur les boutiques partenaires de Nike. En France, les plus connues sont Courir, Foot Locker et JD Sports. A l’international, et plus particulièrement en Europe, des revendeurs tels qu’Asphaltgold, BSTN et Sneakersnstuff disposent d’un catalogue riche où les coloris séduisant, limités ou non, ne manquent pas. A bon entendeur.